1000 femmes blanches : cela faisait longtemps que je l’ai lu depuis longtemps, mais ce titre est toujours omniprésent dans mon esprit… La raison m’est aujourd’hui oubliée, il me faudrait une deuxième lecture pour répondre clairement à cette question. En tout cas je me rappelle très bien l’impact de la marche sur l’héroïne du roman
Le petit prince : on a beau devenir adulte, le petit prince reste un chef-d’œuvre qui touche directement l’enfant, bien enfouie en soi…
Le parfum : en plus de cette délicatesse qu’a utilisé l’écrivain pour nous laisser respirer, en lisant, toutes les senteurs qu’il a décrites, il a excellé dans sa démarche de nous faire tomber amoureux de ce monstre appelé Jean Batiste Grenouille.
La Cicatrice : très ancien roman que j’ai lu il y a de cela plus de 30 ans… L’écrivain a excellé dans le chemin qu’il a tracé pour montrer le degré de souffrance d’une blessure émotionnelle par rapport à une blessure physique.
Les cerf-volants de Kaboul : combien les blessures de l’enfance sont difficiles à extraire du fin fond de nous-mêmes, et pourtant elles accablent notre présent et notre futur, et reste difficilement curables… (Heureusement qu’il y a la RTT: Rapid Transformational Therapy)
Si vous êtes intéressés par mes livres préférés, je me ferai un plaisir de vous répondre et de rajouter à cette première liste
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